Photos, motos, chantiers, à Nantes, en Bretagne, ailleurs, en noir et blanc, en couleurs, des poules, de l'humour, Hublog est un bistrot éclectique graphique et poétique... du moins il essaie...
dimanche 1 juin 2008
Naufrage
-"...et le rouge ? C'est quoi en rouge ?" -"Le sang des marins, papa, ...le sang des marins..."
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6 commentaires:
Anonyme
a dit…
Le sang, bien sûr ! La force d'évocation des dessins d'enfants me laisse toujours pantois. Dommage qu'on ne sache la garder ! Marlowe
Si ce sont des marins bretons c'est un mélange de sang et de gwin ru (mais les marins bretons ne saignent pas il coulent corps et biens). Aux sombres héros de la mer qui ont du affronter les océans du vide,à la mémoire de leurs fréres ou les sanglots si long faisait couler l'accide. Adieux camarades que la sournoise demande, aus brissantes commes aux déferlantes. Du sel de nos larmes jusqu'aux noire de l'abscence, mat'lot que ma péine est immenses.
Peut-être un jour sur une barque étrangéres, mon corps sanglant servira d'étendars. Et tout mon sang rougiras la galére, aujourd'hui fêtes et demain le hasard. Allons esclave allons debout mon brave, buvons la vie et le vin à grand pots. Aujourd'hui fêtes et puis demain peut-être ...ma tête ira sangloutir dans les flots.
He Marlowe, et l'évocation de tout ces gens qui fuient leurs miséres et essayent de traverser des océans sur des cercueils flottans pour venir s'échouer dans nos foyer sonacotra et se cacher d'Hortefeux ou périr aux milieux de nul part et finir par nourir les poissons. Je préfererais garder l'évocation simple de l'innoncence puéril.Bien d'accord avec toi, dommage qu'on ne sache pas la garder.
6 commentaires:
Le sang, bien sûr ! La force d'évocation des dessins d'enfants me laisse toujours pantois. Dommage qu'on ne sache la garder !
Marlowe
Si ce sont des marins bretons c'est un mélange de sang et de gwin ru (mais les marins bretons ne saignent pas il coulent corps et biens). Aux sombres héros de la mer qui ont du affronter les océans du vide,à la mémoire de leurs fréres ou les sanglots si long faisait couler l'accide. Adieux camarades que la sournoise demande, aus brissantes commes aux déferlantes. Du sel de nos larmes jusqu'aux noire de l'abscence, mat'lot que ma péine est immenses.
il y a les vivants, les morts et ceux qui sont en mer.
Peut-être un jour sur une barque étrangéres, mon corps sanglant servira d'étendars.
Et tout mon sang rougiras la galére, aujourd'hui fêtes et demain le hasard.
Allons esclave allons debout mon brave, buvons la vie et le vin à grand pots. Aujourd'hui fêtes et puis demain peut-être ...ma tête ira sangloutir dans les flots.
(mais c'est chanté par Pierrot)
Grands saigneurs, dix sacs aux chasseurs (de baléines...)
He Marlowe, et l'évocation de tout ces gens qui fuient leurs miséres et essayent de traverser des océans sur des cercueils flottans pour venir s'échouer dans nos foyer sonacotra et se cacher d'Hortefeux ou périr aux milieux de nul part et finir par nourir les poissons.
Je préfererais garder l'évocation simple de l'innoncence puéril.Bien d'accord avec toi, dommage qu'on ne sache pas la garder.
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